Le Pékin loin du quartier d’affaire, des heures de cocktails chic et élégants.
C’est le Pékin de ceux qui se permettent de colorer leurs cheveux, d’avoir le corps recouvert de tatouages et de porter des vêtements dignes de la culture ‘trash’ née en Grande-Bretagne dans les années 70 et qui s’est ensuite répandue à l’Europe et aux Etats-Unis.
Pendant le weekend, les jeunes du mouvement punk de Pékin se retrouvent dans les salles de concert de référence du district de Wudaokou, dans le nord-ouest de Pékin : là, entre concerts et bière pas chère, l’heure est à l’étalage.
La Révolution Culturelle est loin derrière, l’heure de rébellion est arrivée. Leurs looks, c’est de la provocation, il ne véhicule pas de message, seulement une image, celle de la génération post année 1990.